Forum - 4 - Cursaxodhil

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Le Déchu | 19/11/07 21:56

Quand Morrdred s'était exilé (pour la énième fois) vers la 500eme Lune, il ne l'avait pas fait avant d'avoir remporté son propre continent, j'ai nommé Cursaxodhil 8), qu'il avait laissé aux bons soins de ses meilleurs subordonnés. Alors qu'il cheminait sur les terres arides de Certadhil, celles, fertiles mais enneigées, de Cursaxodhil étaient gouvernées par son Chef de Guerre le Major John Thyrjen, calvitie et muscles noueux, assisté de la somptueuse et dominatrice Zalnja Throdden, scientifique de formation et comploteuse de vocation, qui avait pour le coup reçu le titre de Ministre du Bon Déroulement. Le troisième angle du trio de tête était le Maître Espion Voltar, unique Humain parmi les Elfes de Yog du gouvernement.

La population de Cursaxodhil se découpait de cette façon : Deux tiers environ étaient des Elfes de Yog pure souche immigrés de Céphalopodhil, logés dans les cités agitées de la capitale. Le tiers restant était composé surtout d'Orcs Albinos, surnommés par habitude Orcs de Yog bien qu'ils ne fussent pas originaire du continent des Syphonn, et de prisonniers de guerre issus des armées des Seigneurs ayant péri sous les coups des armées du Déchu.

Les Cursaxodhilois vivaient de l'élevage de koalas à dents de sabre et de crocodiles laineux desquels on produisait le crocoton, textile solide aux propriétés calorifères sans égal. Ils cultivaient différentes variétés d'algues aux multiples usages, de celles-ci on faisait des épices alimentaires ou des poisons, de celles-là on faisait un équivalent du tabac très prisé par les Elfes de Yog.

La nation Orc jugeant que les Elfes étaient bien trop peu valeureux pour les dominer joua rapidement des épaules, et de nombreuses émeutes rendirent la vie dure à la classe supérieure, dégénérant en une poignée de Lunes en véritable révolution, facilitée par les attentats de groupuscules d'ex-prisonniers Nains et Humains. Sur décision du Major Thyrjen, tout l'effectif d'Elfes de Yog Ninjas de la Pieuvre Noire fût rapatrié sur Cursaxodhil afin de ramener l'ordre. Leur dévastatrice efficacité surpassa les attentes : ayant maté en neuf Lunes le « Petit Tiers » des Orcs et ex-prisonniers, leurs actions brillèrent d'un tel éclat de prestige qu'il devinrent pour chacun un modèle, à l'instar des Paladins chez grand nombre de Seigneurs Humains.

Sous l'autorité de Voltar, le plus charismatique des trois régents de l'île, les Ecoles de Ninjas ouvrirent un peu partout et devinrent la toute première institution Cursaxodhiloise, accueillant jusqu'au plus pouilleux des péquenots pour en faire un invisible assassin d'une loyauté infaillible en quelques années. Bientôt, les différentes écoles de Ninjas tentèrent d'imposer leur propre style et les guerres intestines de clans d'assassins devinrent monnaie courante.

Voltar, de l'Ecole du Koala, devenait la proie de nombreuses pressions de toutes parts, et les différents chefs d'écoles, qui se nommaient les Proviseurs, finirent par obtenir de lui un concours annuel dont le vainqueur obtiendrait les rênes de la mode martiale de l'année en cours. Voltar avait vaincu les prétendants les deux premières années, mais, alors qu'il s'apprêtait pour le combat, il redoutait de perdre face à l'un des challengers de cette année.

Blond, beau, robuste et toujours impeccable, Voltar était un Humain excité, qu'on prenait difficilement au dépourvu. Converti au Culte de Yog peu avant le départ de Morrdred, il entretenait cependant un bronzage accentué en toute saison, et dénotait à présent dans l'assemblée.

« Que le combat des Proviseurs commence ! », annonça-t-il à la foule de noir vêtue, et mille Ninjas applaudirent, impatients de voir le premier affrontement se dérouler dans l'arène recouverte d'une bonne couche de poudreuse.

Edité par Le Déchu le 19/11/07 à 22:53

Le Déchu | 20/11/07 17:42

La vile Zalnja ne portait habituellement que très peu d'intérêt à tout ce qui avait trait à la guerre et au combat en général, mais à l'heure de la finale elle n'aurait pas voulu manquer la prestation du nouveau prodige dont on causait tant. Non pas mêlée à la populace, mais depuis la fenêtre de sa chambre, presque à l'aplomb de ce que Voltar appelait la « Piste de Danse ». C'était d'ailleurs lui qui se tenait dans la neige, face au jeune champion. Thyrjen arbitrait le combat et prit la parole :

« Dames et Seigneurs, voici les finalistes ! A ma gauche, le Maître Espion Voltar, Proviseur de l'Ecole du Koala, vainqueur des deux précédents concours. »
Il laissa à la foule le temps d'applaudir et observer leur champion. Ca et là, des huées retentirent pour la première fois mais Voltar n'en prit pas ombrage : il savait que son adversaire méritait sa réputation.

« A ma droite, reprit Thyrjen, le challenger, Proviseur de l'Ecole du Serpent, Slime ! »
Un vrombissement jaillit des bancs des spectateurs qui s'étaient tous levés pour acclamer le jeune Ninja, martelant le sol de leurs pieds et frappant dans leurs mains avec inspiration.

De sa fenêtre, Zalnja le détailla. Bien sûr il était vêtu de sa tenue de combat et portait sa cagoule, mais sa posture particulière suffisait à le reconnaître. Surtout, ses yeux sombres, perçants, brillaient d'une intelligence rare et son seul regard l'avait déjà rendu populaire auprès de ceux, nombreux, qui n'avaient jamais vu son visage.
Elle s'en alla chercher un manteau et revint hâtivement à la fenêtre, se penchant en avant pour mieux y voir. Thyrjen leur demandait déjà s'ils étaient prêts, et les deux combattants hochaient la tête. Sur un cri, l'affrontement commença.

Voltar, jouant la carte de la surprise, fonça dès le signal sur son opposant et tenta un coup de pied au visage, mais l'autre avait reculé. Continuant sur son élan, l'Humain pivota encore et envoya sa seconde jambe en visant de nouveau la tête. Des deux mains, Slime dévia l'assaut et recula encore, s'approchant du bord de la Piste. Voltar ne voulait pas lui laisser de répit et feint une frappe de front, retenant son geste à la moitié pour plonger vers les jambes de l'Elfe de Yog dans le but de le renverser. L'autre, rapide, se dégagea d'une rotation et se déplaça sur le côté.
Pendant quelques secondes, ils se tournèrent autour, très concentrés. L'espace entre eux était dense, comme empli d'une tension aussi compacte que du béton. Slime restait sur la défensive, tournant le long du bord de la Piste, tandis que Voltar, resté au milieu, le suivait du regard. Ce dernier tenta une nouvelle attaque du pied, décomposée en trois frappes ascendantes qui furent toutes parées des deux mains, puis changea de jambe à un rythme extrême. Il toucha enfin l'Elfe à la cuisse, et lança une série de coups de poing retournés, réduisant la distance entre eux. Frénétique, il tourbillonna, frappant de la tranche de la main, des coudes, virevoltant sans cesser de surveiller les réactions de son adversaire qui esquivait ou déviait tous les assauts.

Maintenant arrivé tout près de lui, Voltar feinta une nouvelle fois et, d'une secousse, agrippa le jeune challenger par le bras. Celui-ci, solidement campé, suivit le mouvement qu'on tentait de lui imprimer et l'amplifia pour retourner la prise contre l'Humain. Ils furent vite enlacés et, forçant de tous leurs muscles, tombèrent sur le sol glacé en se tenant mutuellement.
L'on attrapait ce que l'on pouvait et les tentatives de clefs destinées à rompre les ligaments étaient successivement déjouées, tous deux roulant dans la neige sans qu'on puisse vraiment les distinguer l'un de l'autre. Enfin, Voltar sut placer ses jambes pour bloquer un coude de Slime à l'envers de l'articulation. Il tira de toutes ses forces et annonça, triomphal :

« Le câlin du Koala ! »

Habituellement, arrivé à ce stade, on entendait un grand craquement, et son adversaire abandonnait. Ce ne fut pas le cas. Slime résistait, de son seul biceps, à la force des deux jambes de Voltar. De plus, il avait une main libre et commença à frapper où il pouvait, aux côtes de l'Humain, sapant peu à peu l'effort de ce dernier, qui savait que tout se jouerait au timing. Slime ne pourrait résister éternellement, mais chacun de ses coups, asséné sans pourtant trop d'élan, affaiblissait l'étreinte de Voltar dont les mains étaient trop éloignées pour répliquer.

Finalement, le « câlin du Koala » fut rompu et les deux rivaux se redressèrent vivement, se faisant face à nouveau, mais cette fois bien échauffés.

« Les choses sérieuses vont commencer », dit tout haut Zalnja, à cette idée bien excitée.

Edité par Le Déchu le 20/11/07 à 17:46

Jarx le Vieux Loup de Mer | 21/11/07 09:37

On ne s'en lasse pas! ;)

La suite!

Aliënor | 21/11/07 15:10

o_Ô Mordredd ? J'ai déjà entendu ce nom là, j'en suis sûre, mais où... C'est pas un de ces jeunes chanteurs éffeminés à la mode, là, avec des cheveux improbables, dont toutes les jeunes elfettes en jupette raffollent ? :D

(bon, bon, d'accord, contente de te revoir dans le coin, vieillard ;) )

Xüne Syphonn | 21/11/07 15:34

Je confirme les jeunes ( et les moins jeunes aussi) elfettes en raffole... mais pour ce qui est efféminé... j'ai un doute, un gros doute :D

Le Déchu | 21/11/07 17:36

La garde très haute, la tête rentrée dans les épaules, Voltar avança en se balançant de droite à gauche et d'avant en arrière, masquant ainsi ses intentions. Sans grande conviction, il tenta une frappe basse et céda aussitôt le terrain gagné, vif comme un ressort neuf. L'autre, à peine essoufflé, désamorçait sans cesse en tournant toujours dans le même sens.
Voltar tenta une nouvelle feinte : mimant une attaque dans le sens contraire du mouvement de Slime, ce que, supposait-il, ce dernier devrait anticiper, il lança un direct de l'autre côté. Son poing fermé accueillit le menton du jeune Elfe Ninja exactement comme il l'avait prévu. Le challenger était en déséquilibre, une nanoseconde, et l'Humain ne manqua pas le coche : une pluie de coups de poings donnés avec puissance et célérité s'abattit sur Slime qui, désorienté, était néanmoins assez rapide pour dévier presque tous les coups. Au bord de la piste, il ne pouvait pas reculer davantage : il contre-attaqua pour la première fois.

Le Proviseur de l'Ecole du Koala était intelligent, et même rusé. Il savait que Slime finirait par changer d'attitude et attaquer quand il était supposé le moins s'y attendre. Mais Voltar s'y attendait en permanence, assez lucide pour habiller son style de combat de petits bluffs comportementaux à différents degrés. Ainsi, quand il avait démarré sa tempête de coups de poing, il avait joué celui qui se lance dans la lutte tête baissée. Quand la jambe gauche du prétendant fut propulsée de front vers sa gorge, passant derrière le dangereux combo de crochets et directs, Voltar était déjà passé sur le flanc droit de son adversaire à une vitesse difficile à suivre.
En bonne position, il n'avait plus qu'à se baisser pour ramasser la jambe d'appui de Slime et le projeter au sol. Là, il prendrait pour de bon l'initiative.
Un grand choc l'envoya voler en arrière, à demi inconscient, et c'est lui qui s'écrasa au sol sans comprendre.

Il ouvrit les yeux, cherchant à analyser la situation toute nouvelle. Il était sur le dos, par terre. Slime, lui, n'était pas dans son champ de vision. Au hasard, il protégea sa tête entre ses coudes, juste à temps pour parer le talon qui l'aurait sinon assommé à coup sûr. Ses propres avant-bras s'écrasèrent sur sa figure. Il ne pouvait pas croire que le jeune rival avait été assez intelligent pour prévoir la manoeuvre tirée par les cheveux du Maître Espion, et y déceler la faille en un instant.
Avant qu'il ne soit trop tard, Voltar vida une des capsules de farine extra-fine qu'il avait dans la manche et se releva d'un saut carpé, caché dans le nuage épais. Un talon le percuta vers le pancréas avec un bruit de fouettement: Slime avait touché à travers la farine qui lui cachait sa cible. L'Humain roula sur lui-même deux fois pour ne pas tomber à nouveau et parvint enfin à se remettre debout alors que la poussière blanche se dissipait. Il était en difficulté. C'était par conséquent le moment précis où il devait donner le meilleur de lui-même !
Toutes ses feintes, ou presque, avaient échoué. Il avait désormais compris que faire semblant de faire semblant de faire semblant était inutile contre ce petit génie de la baston. Le jeune finaliste prévoyait l'imprévisible. Soit. Mais était-il aussi rapide que Voltar ? Et, si c'était le cas, était il également aussi fort ? Et si cela s'avérait également vrai, était-il aussi résistant ? Après tout, le jeune Elfe avait lui aussi encaissé plusieurs coups adroitement placés.

Thyrjen, l'arbitre de la rencontre, avait les yeux écarquillés et était sorti du périmètre de la « Piste de Danse » quand il avait compris que cela pouvait aller très vite. Vigilant, il était malheureusement trop préoccupé par sa responsabilité pour apprécier l'extrême divertissement.

Plus haut au-dessus d'eux et de la foule bruyante et gesticulante, la blonde Zalnja souriait sans s'en rendre compte, courbée hors de sa fenêtre, offrant son décolleté au vide puisque tous les yeux suivaient le combat.
Cela faisait bien longtemps que le présomptueux Maître Espion n'avait eu d'adversaire à sa taille. Cela lui remettrait un peu de plomb dans la cervelle, si toutefois il en restait quelque chose à l'issue de l'affrontement.
Si elle ne pouvait saisir le sens des mouvements dans une approche tactique, elle constatait en revanche, comme le reste du public, que le niveau était très haut, et qu'ils avaient probablement là les deux plus puissants guerriers de tout le continent et au-delà. Le spectacle était grand, mais son issue encore incertaine...

Le Déchu | 21/11/07 18:39

Soudain, Slime rompit sa garde. Voltar, à bonne distance, fit de même en comprenant que son adversaire allait dire quelque chose, et voici ce qu'il entendit :

« Si je puis me permettre, vous êtes trop prévisible : vous attaquez sans cesse. »

L'Humain, très fanfaron d'habitude, répondit simplement :

« Merci pour le conseil, Slime.
-Je vous en prie, Maître Voltar.
-Inversons les rôles, proposa alors ce dernier, dans ce cas : Essayez de percer ma défense, la position de l'Eucalyftussss... » (Il avait dit « Eucalyptus » avec la lèvre supérieure retroussée jusqu'aux gencives : essayez vous-même ! ;))

Joignant bien sûr l'acte à la parole, il se tint sur une seule pointe de pied, les bras hauts aux doigts en éventail, la seconde jambe repliée en protection. Il fit deux petits sauts ainsi pour se stabiliser et attendit.

Une bandelette de son bras s'était dénouée, et flottait dans le vent alors qu'il était totalement immobile. Mais Slime n'attaqua pas. Au contraire, il dit :

« Vous êtes ridicule ! Vous ressemblez à un épouvantail ! »

Voltar sentit ses joues le chauffer : il venait d'être humilié. Partout autour de l'arène, les gens s'esclaffaient, se moquant de lui. Bien sûr, ils ne réalisaient pas que ce n'était qu'une manoeuvre pour le déstabiliser. Bien sûr, il était trop expérimenté pour se laisser piéger et restait sans bouger, prêt à se défendre. Mais, quand même, il était en train de très mal vivre cet instant, qui fut en fait plutôt bref.

Slime s'approchait en imitant un serpent : un bras devant, les doigts tendus, ondulant vers l'Humain, l'autre dressé en « S » devant son visage, les pieds glissant sur la neige sans bruit. D'une convulsion il attaqua enfin : ses mains fulgurantes semblèrent soudain invisibles tant il frappait vite, sifflant à une cadence incroyable. Toujours sur un pied, Voltar contint les premiers et fut littéralement submergé sous le nombre ! Contraint de reculer à son tour, le souffle coupé et le nez douloureux, il joua le tout pour le tout en sentant une fin malheureuse arriver.

Il pensa que l'Elfe ne pourrait pas anticiper son attaque si lui-même ignorait où il allait frapper.

Voltar ferma les yeux et mit toute sa force dans un unique uppercut dans le vide devant lui, donnant l'élan de son corps tout entier, annonçant aussitôt d'un hurlement la technique qu'il venait d'inventer :

« LA TOB A YOG !!! »

Slime prit l'énorme coup de plein fouet et s'écroula, Voltar se jeta sur lui en position montée et eut le temps de placer huit violents coups de coude avant que le Major Thyrjen n'interrompe le combat, déclarant de ce fait Voltar vainqueur.

Quand Slime reprit conscience, le visage douloureux, Zalnja Throdden était tout près de lui.

« Où suis-je ? Questionna-t-il machinalement.
-Dans ma chambre, beau jeune homme, répondit-elle l'oeil avide.
-Que s'est-il passé ? J'ai perdu ?
-Oui, mais vous n'avez perdu que la bataille. Vous avez impressionné votre adversaire, ainsi que l'arbitre, ainsi que moi, c'est le moins que l'on puisse dire. Nous avons l'intention de vous donner un poste, qu'en pensez-vous ?
-Par Yog mais ce serait merveilleux, madame la Ministre du Bon Déroulement !
-Parfait, Messire Slime. Vous voici Proviseur Général de Cursaxodhil ! Voltar ne s'occupera plus de cette branche, vous voila devenu le Maître des Ninjas du Prince Syphonn. Félicitations.

Edité par Le Déchu le 21/11/07 à 19:06

Le Déchu | 21/11/07 18:47

Merci pour votre soutien, comme vous le voyez c'est très stimulant!

Are you ready to rock!?!!! :D

Xüne Syphonn | 21/11/07 18:48

On est toujours ready to rock !!!! GO.... :D

(au fait tu as oublié un "e" au "que" de la première phrase.. 'fin j'dis ça ... :p)

Edité par Xüne Syphonn le 21/11/07 à 18:49

Le Déchu | 21/11/07 19:07

C'est corrigé, personne d'autre ne le saura jamais alors range ta langue! :D:b

Xüne Syphonn | 21/11/07 19:08

Trop tard....... et pis quoi qu'est ce qu'elle a ma langue ? hum :D

Terfanae De Caledon | 21/11/07 20:13

Je ne ferai que répéter Jarx : La suite est attendue! :b ;)

Jarx le Vieux Loup de Mer | 22/11/07 10:41

Ouah! Et que dire des descriptions des combats! Génial!

Miltiade | 22/11/07 11:04

Excellent !

Les combats sont très vivants !

Comment fait on pour éditer (et corriger) un message ?

Jarx le Vieux Loup de Mer | 22/11/07 12:00

Heu, le petit bout bouton "éditer", juste là! Oui, c'est ça! Là, à côté de ton nom et de la date, en tête du message!

Edit: Et même! Tu peux l'éditer plusieurs fois!

Edit 2 : Comme ça!

Edit 3 : C'est simple et efficace! :D

Edité par Jarx le Vieux Loup de Mer le 22/11/07 à 12:01

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