Forum - Vive l'Ordradhil libre

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Reinmar der Minnesänger | 05/02/09 21:16

RP de présentation : quand le Reinmar y go

Reinmar, les yeux chargés d'émotion, le coeur plein d'amertume, la gorge pleine d'hydromel et des tas de radeaux plein le dos, contempla l'ensemble d'Ordradhil V d'un seul regard. Il faut dire que c'est nettement plus facile avec une carte que dans la réalité, surtout quand la cartographie a été effectuée par un scribe brouillon qui séchait la majorité de ses cours de traduction de la langue aigle pour s'adonner à son vice d'étude des annales gésiques.

Bon, en plus, la cartographie n'avait rien d'exceptionnel : visiblement, l'aigle lui-même ne devait pas s'être trop foulé, et avait peut-être batifolé avec un de ces volatiles femelles dont le nom vient de leur prosaïsme à faire mourir d'ennui
les poètes (les gît-poètes, voyons !). Des montagnes, des golfes, des forêts, des tourbières, des cimetières...

Telle était la terre (admirez l'allitération) où Reinmar allait se rendre. Non pas que cela soit une lubie sa part, mais parce que cela lui avait été demandé. Comme ça n'arrive pas deux fois dans la vie d'un nain, si longue qu'elle soit, il valait mieux ne pas laisser tomber cette occasion.

Un gnome était apparu dans son château, accompagné d'un paysan aux traits abattus, aux lèvres tremblantes, au dos courbé par le poids de la vie, mais surtout par les coups de fouet et le fait qu'apparemment il n'avait jamais vu de table de sa vie : bref, l'idéal-type du paysan qui suscite la pitié et dont on regrette qu'il soit trop peu cultivé pour qu'on en ait fait un scribe.
Le gnome lui, apporta au début un rébus pour se présenter, en apportant une toile représentant les arbres perdant leurs feuilles : et Reinmar sut dans son infinie sagesse qu'il s'agissait du gnome Tisser-automne. Par la formule gnomique traditionnelle, Reinmar fit "zi" au gnome honni, lui permettant de déblatérer son discours.
Mais le gnome laissa d'abord parler le paysan, qui était tout content d'avoir survécu au voyage pour pouvoir enfin délivrer son message, avant de mourir un peu plus tard dans des râles de souffrance, parce que tel est quand même le destin d'un paysan normal.

"Seigneur Reinmar der Minnesänger, grand nain-poète, vous qui avez connu deux ordres sans jamais adhérer vraiment à eux, et qui savez leurs vices ; vous qui avez victorieusement ou non conduit les nerlks, les hommes, les nains, les orcs au combat, vous qui portez la beauté, l'honneur et l'humour aux nues, vous qui êtes très grand... (ici Reinmar fit comprendre par un geste bienveillant de la main au paysan que sa modestie était satisfaite et qu'il pouvait passer à l'objet de la requête), je suis un paysan des terres d'Ordradhil V, qui ont récemment été découvertes par le monde de Daifen. Je ne saurais dire depuis quand elles sont émergées : je suis moi-même un habitant récent, comme d'ailleurs la plupart de la population du continent. En effet, tous les gens de mon village - là, il commença par hoqueter un peu pour accentuer son jeu - sont des réfugiés des autres continents d'Ordradhil. Ils ont fui la tyrannie que leur avaient imposée les seigneurs de Daifen qui avaient fait remporter leurs ordres - là, il frémit d'horreur en prononçant le mot - très bon acteur, vraiment. En effet, les "ordres" ont voulu faire reconnaître leur domination sur chaque terre qui émergeait au fur et à mesure de ce monde... des gens, dont ce gnome est le serviteur, ont à chaque fois fait de nous un enjeu ridicule de pouvoir, laissant tous les ordres en situation d'égalité... pour mieux laisser le hasard décider de qui nous ferait mourir. Si vous me voyez mourant ici, mais ayant encore assez de souffle, c'est que l'injustice me donne encore un peu de force de vivre - là, il toussa deux fois. Néanmoins - et là, il retrouva un peu de lueur dans ses yeux - néanmoins nous pensons que le combat pour la liberté est toujours possible. A chaque fois, ces mêmes organisateurs, par goût du risque, ont confié à des seigneurs non-alignés une possibilité de gagner ce continent, et d'établir notre liberté. Hélas, ils n'y sont pas toujours parvenus - et parfois même certains "sans-ordres" trahirent au scandale de toute la population - leur "non-ordre" pour un autre ordre qui voulait supplanter tous les ordres. Cela, nous ne l'acceptons pas. Surtout que ma phrase est tordue et que j'ai moi-même du mal à en retrouver la logique. C'est pourquoi nous avons décidé, nous, peuple encore libre d'Ordradhil V, de vous confier, seigneur Reinmar der Minnesänger, noble, vaillant, courageux, etc. nos vies. Soyez pour nous le seigneur des Sans-Ordres sur ces terres ! Rassemblez des seigneurs courageux, des seigneurs expérimentés, qui puissent, par leur vaillance, leur combat, leur diplomatie, assurer la prospérité sur nos terres et, si Findel le veut, la liberté. Nous avons pris la liberté de vous suggérer quelques noms de seigneurs qui pourraient vous accompagner... tout en laissant votre magnificence et votre munificence choisir lesquels seraient les plus à même. Et..."

A ce moment-là, le gnome en eut assez et poignarda le pauvre paysan qui n'en menait pas large. "Oh, ouin, ch..." furent les derniers mots de l'ordradhilien. Le gnome, lançant un regard vers Reinmar, s'en alla, cependant que Reinmar réfléchissait, pensif, et que quelques nains débarrassaient le plancher du corps en essayant de lui trouver enfin une terre libre (on fait avec ce qu'on peut : symboliquement, pour trouver une terre libre, on prend d'abord une terre avec des chênes, on les déracine, et on dit que la terre est libre de ses chênes, et ensuite on fait un grand banquet où on sacrifie des vierges au dieu des calembours).

Reinmar der Minnesänger, après quelques après quelques calculs, après quelques conciliabules, et après quelques niveaux à bulles, sut enfin quels seigneurs convoquer dans cette entreprise de la liberté. Les Sans-Ordres devaient combattre pour sauvegarder cet idéal et en faire une raie alitée, euh, pardon, une réalité.

Edité par Reinmar der Minnesänger le 05/02/09 à 21:19

Falxo Feronas | 05/02/09 22:30

Hum, si tout Ordra est ponctué de textes de ce genre, on va souffrir :D Au lieu de sacrifier des vierges au dieu des calembours, on pourrait pas le sacrifier lui directement ? Ca sauverait pas mal de neurones :o

(évidemment, sacrifier Falxo marchera aussi, ça marche toujours de toute façon :p)

Henthlum | 06/02/09 01:57

Henthlum rêvait. Si vous vous posez la question, oui, une momie peut rêver dès l'instant où elle a la capacité de parler, d'écrire des missives, de commander une armée et de naviguer de continents en continents.
Henthlum faisait le même rêve chaque nuit depuis sa transformation. Il revoyait sans arrêt la scène horrible, que dis-je, abominable, voire terrifiante, qui se résumait à un tonneau de bière, un nain festoyant, le tonneau qui fait boum, et d'un coup, tac, le nain devenu momie.
Mais cette fois quelque chose était différent, son rêve se conclua par un « oh..ouin..ch.. », que l'inconscient ponctua instinctivement par « ..ier ». Le rapport avec le tonneau de bière ? Aucun, mais qu'importe, car l'histoire était désormais lancée !

- Grand Maître Henthlum, Seigneur de la Pyramide Ensoleillée, Grand Détenteur du Tonneau qui a fait...
- Pas le temps Goulor.
- Un message de la plus haute importance. Un certain Reinmar-Terminé-Sans-Coeur vous envoie un message crypté.
- Ah !
C'était du bon, ça, de l'écriture de la crypte. Le message disait ceci :

« slt, colaboré ou mouré »

- Euh, tu es sûr que c'est le bon message ?
Goulor trifouilla dans ses papiers et s'horrifia.
- Par tous les primos développés, il s'agit effectivement d'une erreur. Celui-ci fut envoyé par un certain lefouducinquan...le reste est illisible.
Goulor trifouilla encore, avant de pousser une exclamation satisfaite.
- Ah ! (oui, une exclamation satisfaite) Voilà le bon.

« Puissant Henthlum (ndlr : on écrit de sacrées bêtises, de nos jours),

Toi qui est une pharmacie vivante,
Qui vaincut tant de fois tes ennemis grâce aux trappes piégées de ta pyramide,
Qui mourut tout autant de fois dans ces mêmes trappes par inadvertance,

Je te prie de venir en aide aux pauvres peuples défavorisés. Les péons d'Ordradhil - car c'est de eux qu'il s'agit - ont grand besoin de tes stocks médicinaux, souffrant sous le joug infâme de seigneurs sans scrupules, donc de crapules. En retour, ils sont prêts à te livrer lesdites crapules. Autrement dit, c'est Noël pour tes enfants goules. »

Mouais, c'était alléchant. Voilà des lunes que la momie devait se résoudre à nourrir ses enfants avec du gratin noobinois, un petit changement de menu serait le bienvenu.

- Goulor, prépare mes armées, nous partons.
- Quelles armées sire ?
- Ben, les mômes, tout ça.
- Oh ! Il est encore tôt, ils risquent d'être grincheux !
- Mais tant mieux !

Reinmar der Minnesänger | 06/02/09 15:07

ça me fait penser à une petite blague des familles :

Savez-vous pourquoi les nains aiment bien lever des impôts extraordinaires sur les créatures mort-vivantes qui vivent dans les rivières, les lacs et les océans ?

Parce que les goules d'eau raquent !

Maianico | 07/02/09 16:08

Mouhaha elle est trop bonne :D.
Vive not' chef !

Edité par Maianico le 07/02/09 à 16:08

Falxo Feronas | 07/02/09 19:48

Je n'aurais pas dû accepter cette mission. Oh, non, je n'aurais pas dû. Je sais que j'avais pas le choix, mais quand même. Quitte à me faire exécuter pour désobéissance, au moins ç'aurait été une mort rapide et sans douleur, bon, peut-être pas tout à fait sans douleur si le bourreau a encore oublié d'aiguiser sa hache, mais c'était tout de même préférable à ça... par la bière de Skippy... je veux rentrer !

Ainsi pleurnichait intérieurement le nain messager tandis qu'il s'enfonçait à tout petits pas dans la forêt de Bomarandhil. Il avait la phobie des arbres depuis sa plus tendre enfance, mais il s'était dit qu'il parviendrait à la surmonter s'il ne s'agissait que d'aller dans un bois, de larguer son message à un elfe puis de se carapater. Ce qu'on avait omis de lui dire, c'était que la forêt en question s'étendait sur l'entière moitié du continent, aussi oxymorique que puisse paraître cette expression, et que son propriétaire n'avait pas levé le moindre petit doigt, ni aucun autre appendice d'ailleurs, pour l'empêcher de pousser comme elle l'entendait, à savoir n'importe comment. C'était devenu une jungle dans laquelle on ne pouvait pas foutre un pied devant l'autre sans trébucher sur une racine fourbe ou se manger un buisson de ronces qui, quand on était un nain, se trouvait au niveau peu protégé et très douloureux des yeux. La végétation s'était tant développée qu'elle avait probablement évolué au point de devenir carnivore - le messager était sûr que la dernière fougère qu'il avait croisée lui avait lancé un regard gourmant.

Et maintenant, il souillait son pantalon parce qu'il venait de tomber sur une espèce de créature titanesquement gigantesque, voire l'inverse, qui laissait tomber sur lui un regard indéchiffrable perché au sommet de deux cents kilos de muscles.

« Bonjour, dit le colosse. Qu'est-ce qui vous amène en ces terres ?
- Message Reinmar cherche Falxo pas tuer suis gentil sivouplé, » s'étrangla le nain en tendant frénétiquement un parchemin.

La créature haussa un sourcil curieux et s'en empara d'une main trapue apparemment taillée pour briser des cous de dragon d'un seul ongle. Dès qu'il fut soulagé (et ce dans tous les sens du terme, même les plus dégoûtants), le nain fit un joli cent quatre-vingts degrés et détala, ou du moins trébucha le plus rapidement possible vers la lisière de la forêt qui représentait également son unique chance de survie.

Resté seul et après avoir observé le fuyard jusqu'à ce qu'il fût hors de vue, Kremp le centaure brisa le sceau du parchemin et en parcourut le contenu. Hochant la tête pour lui-même, il se mit en marche dans une direction connue pour l'instant de lui seul, mais dont le lecteur sera en toute logique informé dans le paragraphe suivant.

Voilà donc Kremp qui toque maintenant à la porte d'une cabane perdue au milieu des bois. Il n'y a pas de réponse, mais il en a l'habitude. Il ouvre donc, puisque Falxo n'a jamais pu économiser de quoi se payer une serrure - ni, très manifestement, une maison - et que même s'il en avait une, il oublierait de s'en servir. La porte n'est par conséquent pas fermée. Derrière elle, une simple pièce sombre, et en son milieu, une table sur laquelle repose une tête. C'est bien celle de Falxo, et son corps se trouve directement à côté, assis, ou plutôt affalé sur une chaise. Il est en plein sommeil, et manifestement pas dans un bon jour.

Kremp soupira.

« Debout, tonna-t-il.
- Non, grogna Falxo.
- Ah, tu étais éveillé, parfait. Je...
- J'ai dit que j'me lèverai pas, trancha le druide, les yeux toujours fermés. Tu as un parchemin dans la main. Ce sont des mauvaises nouvelles. Ce sont toujours des mauvaises nouvelles.
- Mauvaises, non, nuança Kremp. Mais c'est un genre de mission.
- Mission. Travail. Mauvaises nouvelles.
- C'est Reinmar.
- Reinmar. Mauvaises nouvelles.
- Il dit qu'il faut de nouveau aller sauver Ordradhil du joug des ordres.
- Hein ? C'est tout ce qu'il dit ?
- En substance... Je t'ai fait la version sans calembours.
- Oh. Réponds-lui non.
- Falxo ! s'indigna Kremp. Tu t'es toujours vanté d'être un sans-ordre pur et dur et tu n'arrêtes pas de dire qu'on est bien mieux libre. Tu ne crois pas que c'est l'occasion d'aller défendre tes croyances ?
- A quoi bon ? soupira Falxo. C'est bien joli d'être un druide qui vit dans la forêt et qui n'obéit aux ordres de personne. Mais je ne ressemble à rien. Je ne sers à rien non plus. Ce sont les ordres qui sont craints, qui font couler l'encre et le sang et qui contrôlent Daifen. Moi, je suis juste le sacrifice. En fait, le meilleur moyen de rester fidèle à mes croyances, comme tu dis, serait de laisser les autres se battre sur le devant de la scène et de profiter de ma tranquillité dans la forêt. Là, personne ne me dérange, surtout pas une liste de calembours sur un bout de papier.
- Je vois, soupira Kremp. Tu es vraiment dans un mauvais jour. Bon... »

Il posa le parchemin sur la table, près du visage aux yeux résolument fermés de Falxo.

« Quand tu te seras rendu compte que tu es en train de pourrir sous un tas de rondins dans une forêt lugubre plutôt que de « profiter de ta tranquillité », et que cela ne te fait aucun bien, tu te relèveras. Ensuite, tu contacteras Reinmar et tu iras te battre sur Ordradhil.
- Nan, fit Falxo, têtu.
- Gaia ! explosa Kremp, arrête tout de suite ton théâtre (1) ! Tu ne vois donc pas que tu es en train de dépérir ! Où sont passés ton enthousiasme et ta joie de vivre ? Crois-moi, si tu continues comme ça, bientôt, tu n'existeras plus !
- Je sais. Laisse-moi, maintenant. »

Kremp prit une profonde inspiration. Pas moyen, donc. Il faudrait au moins une poule de feu pour faire bouger Falxo de sa chaise.

Il tourna les sabots.

« Je prends les centaures avec moi, déclara-t-il juste avant de quitter la cabane. Si on me cherche, je suis sur Ordradhil. En train de me battre.
- Bonne chance. »

===

(1) : Oui, bon, hein... Cette phrase est certifiée 100% sans anachronisme. Haha, ça vous en bouche un coin ça.

Edité par Falxo Feronas le 07/02/09 à 19:48

Reinmar der Minnesänger | 07/02/09 21:49

Coin !
On a le droit de sacrifier Kremp ? :D

Maianico | 18/02/09 20:11

**Le souffle glacé venant des mers du nord avait ce soir une saveur particulière.
Il apportait avec lui une bonne nouvelle.
La sélection dans l'équipe des sans ordres !

Ordradhil... Le continent si convoité, le graal... Le passé ressurgissait.. Ses souvenirs étaient intacts malgré les dizaines de lunes écoulées.

Une partie de lui était morte avec la disparition du clan Bollos mais sa motivation était toujours intacte.
Il ne se sentait pas prêt à intégrer un autre ordre pour le moment.
C'est avec la bannière des sans-ordres qu'il combattra cette fois-ci !
Qui seront ses compagnons de voyage ? Il n'allait pas tarder à le savoir.
Il fit allégeance au seigneur Reinmar et se mit en marche à ses côtés pour relever ce nouveau défi..**

Edité par Maianico le 18/02/09 à 20:13

Korm | 20/02/09 07:34

"Entends-tu l'appel des opprimés?" demanda Reinmar.
"Les os primés ? C'est pour les nécromanciens ça non ?" répondit Korm.
Celà faisait 1 heure que Reinmar essayait de convaincre Korm de le suivre pour libérer un peuple que des "ordres" voulaient réduire en esclavage.Mais rien n'y faisait, Korm ne semblait rien comprendre à ce que Reinmar pouvait lui expliquer.
"Voyons Korm, on doit défendre la liberté et la démocratie"
"La liberté, ben je suis libre!! et puis c'est quoi la démocratie?"
Reinmar commença un véritable cours de politique et de philosophie, ce qui obligea Korm à boire 6 Skunsbières pour éviter la migraine, pour faire passer le tout, il avala un sandwich Chocolat-Moule-Anchois.Reinmar était désespéré et songeait à laisser tomber mais il se dit que si Korm mettait autant de temps à comprendre qu'il était blessé, il devenait un atout de choix, il fallait le convaincre.
"Korm, ce peuple à le droit de choisir sa façon de vivre"
"Euh tu sais, moi je suis plutôt du genre à choisir la façon de mourir des autres"
"Ce peuple mérite la liberté"
"Pourquoi?"
" Et bien parce que tous les peuples naissent libres et égaux, parce que la liberté des âmes et des consciences est une valeur essentielle de l'humanité, parce que les grands oppresseurs doivent être combattu..."
"Kon science, c'est quoi ça?"
Reinmar mangea son chapeau, se tapa la tête contre le mur et se décida à laisser tomber lorsque vint l'illumination!!!
"Korm, une bagarre face une cinquantaine d'autres seigneurs de toutes races, ça te dit ? "
Korm convoqua l'éluros-kolonel:
"Réunit les troupes, on va empêcher des nécromanciens de réveiller des os-primés"
"T'as vu reinmar, quand tu expliques bien, je comprend vite!!!"

Sixlenceyeux | 20/02/09 07:49

Bah messieurs écrivez un boucain au allure des hobbit mais sur Ordadhill.

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