Forum - [Ordra : Firmir] Il est temps pour le Firmir

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Wolfgangerl | 19/02/09 11:40

Par une belle matinée, Wolfgangerl se prélassait au pied d'un chêne millénaire. Le soleil caressait délicatement sa peau, l'air était doux et sentait bon le chèvrefeuille. L'elfe aux chemises flamboyantes se laissait gagner peu à peu par une douce quiétude. Ses paupières lui paressaient de plus en plus lourdes et il se réjouissait déjà du paisible somme qu'il allait faire.

« Oh, par Gumult ! Oh, par Gumult! Tu vas être en retard ! »

L'oeil qu'il ouvrit péniblement pour voir que personne n'avait dit cela se referma aussitôt.

« Tu vas être en retard, dépêche-toi ! »

Cette fois-ci, il n'ouvrit même pas un oeil, pensant qu'il rêvait déjà.

« Magne toi le train sinon tu seras à la bourre !»

A ce moment là, Wolf put voir un Lapin Blanc aux yeux rouges injectés de sang penché sur lui, une montre à la main, qui lui disait : « Allez debout mon pote, t'as intérêt à te bouger le cul sinon tu vas être à la bourre ».

N'en revenant pas, Wolfgangerl se leva d'un bond et se frotta les yeux. Il regarda tout autour de lui et ne le vit plus. Il allait se rasseoir en grommelant contre ce maudit Lapin Blanc lorsqu'il l'entendit à nouveau, à quelques pas de Troll devant lui.

« Mais t'es sourd ou quoi ? Tu vas être en retard !!! Viens, suis moi !!».

Wolf se mit à courir derrière lui sans réfléchir à l'incongruité de la situation.

Lorsqu'ils s'enfoncèrent dans la forêt de FindelWood, l'Elfe lui demanda : « mais, je vais être en retard ?? pour quoi ??? »
Le Lapin lui répondit : « En fait il ne s'agit pas de toi uniquement, mais de tout ton Ordre, le Firmir , tu comprendras le moment venu ! »

L'elfe répondit : « le Firmir ?? comment ça ? »
Le Lapin lui rétorqua « tais toi et cours, tu sauras tout le moment venu ».

Soudain, le Lapin s'arrêta et lui montra un large terrier : « nous sommes arrivés ».
Ils s'y enfoncèrent. Wolf fut pris comme dans un tourbillon et ne pouvait dire s'il tombait ou montait. Une fois qu'il eu atterri brutalement sur le sol ou le plafond (il ne savait plus trop), il examina les lieux et vit comme un puits dont les parois étaient garnies de placard et d'étagères. Cet endroit lui disait finalement quelque chose. Aux murs, des cartes des continents que lui ou ses amis Firmirs avaient remportés, des armes encore sanguinolentes, et même des tableaux de lapines dévêtues !!! Un énorme étendard semblait flotter dans les airs, (en tout cas Wolf eu du mal à comprendre comment il tenait), décoré des armoiries du Firmir, sur lequel était inscrit en lettres d'or « Bravoure, Loyauté et Justice ».
Wolf vit une magnifique Elfette blonde solidement attachée à la paroi et qui chantait « Wouhh ouhhh ». Il allait instinctivement la détacher :
Le Lapin hurla : « mais t'es fou, c'est Hale Hisse ... avec elle, j'ai 4h de communications gratuites, la détache pas ! Sans elle, j'aurai pas pu venir te parler ! Allez, fais moi confiance ...
Bon, tu dois avoir faim là, non ? Prend donc un peu de cette bonne confiture de Cerise, elle assure ». Le Lapin lui tendit un pot blanc à pois vert sur lequel on lisait : CONFITURE DE CERISE. Wolf lui répliqua « non merci, c'est la Baffe que j'préfère ».
- « Paffffffffffffff » le Lapin lui mit une torgnole mémorable, et lui dit « bon maintenant tu vas me suivre ».
Il ouvrit une porte que l'Elfe n'avait pas remarqué, et le fit entrer.
«Mais qu'est ce que vous faites là ?!?!? » demanda Wolf incrédule, en voyant tous ses comparses du Firmir...
Vous aussi vous avez suivi ce Lapin crétin ? »
« Wii », répondirent en coeur les cinq autres Firmirs, Iryanna, Realder, White Tiger, Barahir et Pépé Narvahlo, assis autour d'une table ronde.

Soudain, du coin de l'oeil, le groupe vit un large sourire composé de nombreuses dents très très longues jaillir de l'autre bout de la pièce. Cette dentition forçait le respect.
Un sinistre Chat Noir s'avança vers eux.

« Vous voilà enfin réunis, dit le Chat. Je m'appelle Badabada et j'ai un message à vous délivrer.
Il est temps pour vous de montrer ce qu'est le Firmir, de prendre les armes et de remporter Ordradhil ! Il est temps ! »

« Ordradhil ??!!!? », firent les Firmirs stupéfaits.
Oui, et cinq d'entre-vous devront y participer. Je suis donc là pour vous départager.
Nous avez jamais entendu parler du « pouvoir des Chats » ? Tout le monde en parle en ce moment. Et bien, je suis le Président du Pouvoir des Chats », enchérit-t-il d'un sourire digne d'un politichien.
Il regarda sa montre bling bling à son poignet ...
« Effectivement, il est temps».

Le Chat Badabada entra dans un état second, tel un état de crise.

D'une voix d'outre-tombe, il laissa échapper ces propos :

« Wolfi, tu es le chef des Firmirs, d'y aller tu te dois. »
« Iryanna, douceur et force tu y apporteras »
« Realder, deux doigts coupent fin (dit-il comme un slogan publicitaire), de la partie tu seras »
« Pépé Narvalho, l' étendard du Firmir bien haut tu porteras «
« White Tiger, dit 'Ultra White', mal aux dents à tes ennemis tu donneras »

« Barahir, d'autres missions tu auras car je sais que beaucoup tu as à faire en ce moment »;

Le Chat se retourna alors vers le Lapin Blanc :
« Carlo Bunny, s'il te plait, mène les à présent dans la salle des... »

« Bam Bam Baaaammmm »
Les propos furent brutalement interrompus ... tout commençait à disparaître, la salle, Carlo, les autres Firmirs ...

« Bam Bam Baaaammmm »

Wolf se réveilla en sursaut au pied du chêne millénaire. Il avait donc rêvé !!!

« Bam Bam Baaaammmm »

Il s'approcha du bruit et aperçut un petit gnome rouge clouant une affiche sur un arbre un peu plus loin, l'affiche annonçant Ordradhil....Effectivement, par Gumult, il était temps de réunir les Firmirs et de partir en campagne.

Estré | 19/02/09 12:52

Ce n'était pas un matin comme les autres. Non, vraiment pas comme les autres.
Pépé Narvalho s'était levé aux aurores pour se préparer pour cette journée particuliere. En moins de deux, il s'était mis sur son trente-et-un, avait peigné les trois poils qu'il avait sur le caillou, et était sorti de sa ourte quatre-à-quatre. Ne comptant plus ses préparatifs, il était fin prêt pour se rendre au Bouleutérion du Firmir, afin de subir sa docimasie. Il allait quitter son campement lorsque, de manière inconvenante, un pigeon passant au-dessus laissa échapper un bon litre de fientes bien liquides.
La journée de Pépé Narvalho était gâchée.

Pépé Narvalho appela alors sa garde personnelle, lui enjoignant d'intercepter sur le champ le volatile. Ce qui fut fait, non sans mal, après quelques heures de poursuite par une escouade de ptéropigeons sur-entrainés. Une fois le contrevenant abattu, on découvrit un parchemin attaché a l'une de ses pattes, portant le sceau du Firmir.

Le parchemin se révéla provenir du Firmir, et était ainsi formulé.
"Toutes nos félicitations, seigneur Narvalho !

Vous venez d'être sélectionné pour notre grand tirage au sort, dont le lot principal est une magnifique croisière à destination(1) du continent rêvé de tous.
Ne perdez pas une seconde, rendez-vous immédiatement sur l'Agora du Firmir afin de récupérer votre laisser-passer.
Si vous transmettez ce message à 187 personnes de votre connaissance dans les 187 secondes, vous vivrez 187 lunes de plus.
Si au contraire vous abattez le porteur du message, un comité d'accueil passablement énervé vous attendra à l'issue de votre croisière.

Kordialement,
L'équipe des voyages "Firmir Attitioude"

(1) Le lot n'inclut pas le trajet retour, débrouillez-vous pour rester sur Ordradhil jusqu'au bout !

Finissant de s'essuyer, Pépé Narvalho s'adressa alors à son fils: "Estré, dis-moi... ca porte bien malheur la fiente de pigeon ?"
"- Euh, uniquement si ca vous tombe sur la tête."
"- Ok, alors c'est toi qui t'y rendra. Pour moi c'est perdu d'avance."

--
Estré, fils de Pépé Narvalho

Edité par Estré le 19/02/09 à 12:53

Realder | 21/02/09 10:58

« Seigneur Realder ! Seigneur Realder ! Une missive de la plus haute importance vient d'arriver ! »

Ce furent les premiers et seuls mots que le messager du Firmir eut le temps de prononcer. Realder ne s'était pas encore fait à la discipline de l'Ordre et avait encore un peu de mal avec les horaires plus que matinaux. Il gardait donc toujours près de son lit un stock d'objet contendant de toute sorte qu'il pouvait allégrement jeter au visage de tous ces messagers. Aujourd'hui, pas de chance, ce fut le pot de chambre. Realder avait dormi du mauvais côté du lit.
Alors que les quelques larbins venaient réanimer le messager, Realder émergeait et réalisa qu'une fois de plus il allait devoir attendre que le messager se réveille et qu'au final il ne dormirait pas plus.
Deux jours plus tard, le messager pu enfin délivrer son message : le Firmir avait besoin de lui pour Ordradhil V. La délégation partait hier...
Realder mis son armure, rassembla ses affaires dans l'urgence et parti en priant Tosrm que son retard ne se fasse pas trop remarquer...

Iryanna Arienal | 23/02/09 12:08

Une nuit sans lune, des toits de maisons, de granges, de baraquements, une ville endormie comme beaucoup d'autres, un château en son centre, massif, imposant, un léger bruissement se fait entendre sur chacune de ses tours, un étendard y flotte, celui du Firmir. Et sur l'une d'entre elles, la silhouette d'une femme, accroupie, sur un des créneaux, toute de noir vêtue pour ne pas tâcher dans le décor, elle ne semble pourtant pas à sa place, une épée sur le côté, une dague de l'autre, seul son surcot bleu nuit fait penser qu'elle appartient peut-être à l'armée régulière. Attendre dans le froid toujours, scruter le moindre mouvement suspect, le moindre indice qui révèlerait sa présence. Rien toujours rien. Les quelques points lumineux mouvants lentement dans les ténèbres en contre bas révèlent chaque garde qu'elle a posté, on pourrait presque croire qu'ils sont disposés de telle sorte qu'ils laissent chemin, jusqu'à cette fameuse tour... A moins que ce ne soit un étau. Viendra-t'il ? Sait il au moins qu'elle attend patiemment depuis quatre heure ? Sûrement. Elle attendra encore le temps qu'il faudra, et il la laissera patienter encore, pour le plaisir, ou pour qu'elle échoue. Laisser monter la tension, doucement, les muscles se tendent, la colère monte, l'impatience gagne et on commet une erreur. C'est un jeu, un jeu entre le chasseur et sa proie, lequel des deux joue le chasseur ? Allez savoir. Les deux peut-être. Trèves de rêveries, se concentrer encore, scruter toujours... là bas peut-être ? Non, c'est un chat. Et si ... ? Non ça peut-être une diversion. 5h maintenant. A-t'il abandonné ? Un cri déchire le silence.

ENFIN ! Elle se redresse, un mince sourire se dessine sur son visage, elle jubile intérieurement, la tension augmente, elle va bientôt pouvoir exploser. 12 jours à étudier pour cet instant précis, il n'y a rien de plus beau, que de voir une oeuvre si minutieusement préparée se terminer, ici c'est un piège qui se referme. Les points lumineux se déplacent, maintenant rapidement de façon presque désordonnée. A gauche ? Rien.... A droite ? Rien. Bien. Quelques secondes encore ou peut-être est-ce quelques heures ? Qu'importe le temps s'est arrêté pour elle. Un cor sonne, d'autres cris d'alertes cette fois, et non de peur... Le château s'illumine petit à petit, seule la tour sur laquelle la femme est juchée reste sombre. A l'intérieur c'est l'effervescence, les gardes courent en tous sens pour allumer chandeliers et lustres, se penchent aux fenêtres pour s'assurer que personne ne fuit. Toute la garnison est en mouvement, quelques médecins s'affairent autour de deux blessés, peu importe ils survivront, ils n'avaient pas à intervenir si vite... A côté d'eux un monceau de terre, une dague plantée dedans, un A gravé sur sa lame... Le piège a fonctionné.

Deux étages plus bas, et quelques couloirs plus loin, une fenêtre se brise, et un grappin s'accroche au toit d'une maison en face. Une femme se jette dans le vide, son sourire est toujours gravé sur son visage, mais ses yeux expriment toute sa colère. L'homme qui a lancé le grappin sort enfin par la fenêtre un long couteau entre les dents. Il remonte rapidement le long de la corde... pas assez vite. Celle-ci se détend soudainement, il a juste le temps de se retourner pour voir une fois, tombant du ciel, épée tirée, qui vient juste de passer derrière lui, et a tranché sa maudite corde, avant de s'écraser contre le mur de la maison d'en face. La femme est suspendue à un mètre au dessus du sol, elle souffle court, une ou deux (peut-être plus) côtes cassées. Il lui faut quelques secondes pour se ressaisir, elle coupe la corde qui l'a empêchée de s'écraser sur le sol et se dresse devant l'homme. Il finit par se relever lui aussi, son nez est cassé, son bras peut-être, sa bouche est largement fendue... Quelle idée de se balader un couteau entre les dents... Elle se met en garde, et s'approche lentement.

« Mon nom est Iryanna Arienal, paladin du Firmir, et maîtresse des lieux. Pourquoi tenter d'assassiner encore un de mes lieutenants, si vous parlez, vous aurez un jugement équitable, et peut-être éviterez vous la mort. »

L'homme sert son couteau dans sa main, visiblement, il se prépare à combattre même s'il sait qu'il n'a aucune chance dans son état.
« Je sais qui vous êtes. Nous avons eu ouïe dire que vous vous refusiez à aller sur Ordradhil V. Vous n'aurez nul répit avant d'avoir pris la mer en direction de ce continent. »

Haussement de sourcils
« Qui ça nous ? »

L'homme est pris d'un petit rire, interrompu par le bruit d'un tir d'arbalète. Instinctivement, Iryanna se baisse, qu'importe le carreau n'était pas pour elle... L'homme s'effondre, le carreau planté dans la gorge, son sang remplissant rapidement ses poumons, il commence à étouffer, en émettant des râles d'agonie. Trop tard pour lui, mais le tireur... Elle s'élance, enjambe le futur cadavre, s'accroche à la corde restée pendue à la maison grimpe rapidement sur le toit. Le tireur est un peu plus loin, il a déjà fait demi-tour pour s'enfuir. Après une rapide course poursuite, chacun sautant de toit en toit, elle finit par le coincer, le saut est trop dangereux pour être tenté, et elle lui bloque un éventuel repli. Il fait volte-face. Un masque lui couvre le visage, il fait une révérence.

« Enchanté que la 'si grande' Iryanna daigne se mettre à ma poursuite, je ne suis pas sur d'en valoir réellement la peine »

Elle s'avance, faisant attention au moindre de ses gestes

« C'est trop d'honneur que vous me faîtes, maintenant si vous voul.... »

Un pas de trop, le toit a craqué sous son poids, elle s'écrase l'étage en dessous à côté d'un lit d'enfant. Sur le toit, un léger rire se fait entendre, il aurait rit plus fort, si elle ne lui avait pas laissé un petit souvenir... Elle n'a plus sa dague au côté. Le gamin dans le lit se met à pleurer et à hurler... Foutus mioches.

Quelques heures plus tard, dans une salle de réunion, une femme, pieds sur la table, sirotant un jus de pomme, 4 hommes sont assis autour de la table, tous en armure, assis bien droit mains jointes devant eux.
«
Général 1: - On a aussi trouvé l'arbalète dont il s'est servie... Un D est gravé dessus...
Iryanna : -Ils s'attendaient à ce qu'on les piège ?
Général 1: -Probablement.
Iryanna: -Le lieutenant Felcio ?
Général 1: -Il va bien, grâce à son 'remplaçant'
Général 2: -Comme quoi la magie ça peut servir à quelque chose. *rires*
Iryanna: -Messieurs, gardez vos blagues vaseuses pour vous.
Général 3: -*chuchotement* Elle est d'humeur massacrante aujourd'hui...
Général 2: -*chuchotement* Parce qu'il y a des jours où elle ne l'est pas ? *rires étouffés*
Iryanna: -Bon les lettres... Qu'est ce que ça donne...
Général 1: -Et bien hum... avec le A et le D d'hier on a O R D R A D...
Iryanna: -Moué... Bon, je crois qu'on a compris maintenant.
Général 1: -Et qu'envisagez-vous madame ?
Iryanna: -Les trouver, un par un, et les tuer.
Général 2: -Hum... Ne devrions-nous pas commencer à penser à aller là bas ?
Iryanna: -Non.
Général 2: -Pourquoi ?
Iryanna: -Les derniers Ordradhil ont été des échecs pour le Firmir, pesants. Quel interêt d'y retourner.
Général 3: -Ne serait-il pas temps d'envisager un vrai retour ? Dois-je vous rappeler que le sieur Wolfgangerl vous a demandé d'y aller ?
Iryanna: -l'ignorant* Et je ne cède pas au terrorisme.
Général 4: -Dîtes plutôt que vous êtes têtue.
Iryanna: -... *regard noir pour toute réponse*
Général 4: -Capricieuse ?
Iryanna : -*baffe* Vous vous croyez malin, général? Très bien préparez vos affaires, vous m'y accompagnez.
Général 4: -Ce n'est pas ainsi qu'une dame de votre rang doit se comporter.
Iryanna: -*rebaffe* Ca vous pose un problème ?
Général 4: -*souriant et se massant la joue* Aucun madame.
Général 1: -Et si c'était un piège ? Vous aurez beaucoup d'ennemis une fois sur place. Vous serez plus vulnérable qu'ici.
Iryanna: -Hmmmm... En ce cas votre tête sera la première à tomber une fois sur place. N'êtes vous pas chargé de la sécurité intérieure ?
Général 3: -Qu'il en soit ainsi.
Général 2: -Madame, il est de mon devoir de vous signaler que vous allez être en retard...
Iryanna: -Oui. Et ?
Général 2: -Ils pourraient ne pas apprécier ?
Iryanna: -Et alors ?
Général 2: -Heu... Eh bien... Rien.
Iryanna: -Merci pour cette intervention indispensable. »

Quelques jours plus tard, les bateaux levaient l'ancre du port de la ville, direction : Ordradhil V.

Edité par Iryanna Arienal le 23/02/09 à 12:11

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